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Meurtre de Salvatore Montagna : Les accusés plaident non-coupables

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21 novembre 2013
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Par Guy Latour\Agence QMI
LAVAL - 

Les sept présumés meurtriers de Salvatore Montagna, assassiné le 24 novembre 2011 à Charlemagne, ont plaidé non-coupable, le 20 novembre au Palais de justice de Joliette.

Raynald Desjardins, 60 ans, Vittorio Mirarchi, 35 ans, Calogero Milioto, 42 ans, Jack Simpson, 71 ans, Steven Fracas, 29 ans, et Steven D'Addario, 35 ans, ont tous brièvement comparu devant le juge Martin Vauclair, de la Cour supérieure. Deux jours plus tôt, le Directeur des Poursuites Criminelles et Pénales du Québec avait déposé un acte d’accusation direct contre les accusés sous des chefs de meurtre prémédité et complot pour meurtre.

La procédure, qui n’était qu’une formalité, n’a duré que quelques minutes. Des mesures de sécurité exceptionnelles avaient été mises en place par le Ministère de la Sécurité Publique afin d’éviter tout incident.

Comme l’agence QMI l’avait annoncé le 18 novembre, le dossier a été reporté au prochain terme des assises criminelles, le 17 janvier prochain. Simpson, Fracas, et D'Addario reviendront devant le tribunal le 2 décembre prochain, au Centre judiciaire Gouin de Montréal, car ils ne sont toujours pas représenté par un avocat.

Felice Racaniello, 29 ans, accusé de complicité après le fait, et Pietro Magistrale, 61 ans, avaient aussi enregistré un plaidoyer de non-culpabilité le 18 novembre.

La victime Salvatore Montagna a été tuée par au moins un projectile d’arme à feu sur l’Île Vaudry à Charlemagne, le 24 novembre 2011. Le meurtre a eu lieu dans une résidence louée par un des accusés, Jack Simpson.

Nouvelles accusations contre Magistrale

Par ailleurs, trois nouvelles accusations ont été déposées contre Pietro Magistrale, à la suite de son arrestation pour meurtre, le 27 mars dernier.

En effet, lors d’une perquisition à son domicile de Laval, les policiers ont retrouvé une arme à feu prohibée non chargée, soit un pistolet à impulsion électrique. Il aurait aussi brisé deux conditions d’un précédent engagement signé en mars 2012, alors que des armes avaient été aussi retrouvées lors de sa première arrestation, le 20 décembre 2011.

Il a plaidé non-coupable aux nouvelles accusations.

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